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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 09:47

On réalise des séries de jeux en essayant de faire le plus grand nombre d’échanges possible à chaque jeu : il faut donc composer avec les points forts et les points faibles de son coéquipier.

 

Avantage : le jeu est plus facile et plus attrayant pour les débutants car les 2 partenaires collaborent au lieu de s’opposer. Ils doivent vaincre ensemble leurs propres difficultés de coordination et de collaboration.

Il s’agit d’un jeu participatif dont le but est de favoriser la collaboration et l’esprit d’équipe.

Les progrès sont faciles à quantifier, et la Connaissance des Résultats (CR) est un facteur de motivation des débutants.

Exemple : en arrivant sur le court, ils peuvent se dire « la dernière fois nous avions réussi à atteindre 50 échanges avec la main non-dominante. Aujourd’hui, nous allons essayer de battre ce record !

Il y a donc des progrès quantifiables à chaque séance, et même parfois à chaque jeu en début de progression.

Dans toutes les disciplines sportives, il y a un maximum d’abandon dans le premier mois de pratique essentiellement par découragement.

C’est particulièrement vrai dans les sports d’opposition (« agôn » dans la classification de Roger Caillois), car le débutant est toujours battu par le pratiquant avancé. Il n’a aucune chance de gagner.

Il est donc important pour la motivation de prouver dès les premières séances que la progression est réelle et importante.

 

 

Les pratiquants ont le droit de tenir leur raquette à deux mains, mais  :

- Lors du jeu avec la main non-dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

- Inversement, lors du jeu avec la main dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

 

 

- Premier niveau : faire le plus grand nombre d’échanges possible.

Dans ce but, on compte le nombre d’échanges à haute voix, comme dans le Frescobol (raquettes de plage).

 

Et on alterne : un échange avec la main non-dominante et un échange avec la main dominante.

 

Pour faciliter le jeu des débutants, on autorise 2 rebonds comme dans la pratique handisport

 

- Deuxième niveau plus « formel » pour des joueurs plus expérimentés :

Ils disposent de 15 minutes du côté non-dominant, puis de 15 minutes du côté dominant pour faire le maximum d’échanges sans interruption.

 

 

- Troisième niveau, pour les amateurs de compétitions. Il s’agit d’affrontements entre plusieurs équipes :

 

Avant de rentrer sur le court pour jouer les 2 parties, chaque joueur doit déclarer au jury sa main dominante (par exemple : je suis droitier).

 

Chaque équipe dispose de 15 minutes du côté non-dominant puis de 15 minutes du côté dominant pour faire le maximum d’échanges sans interruption.

 

L’équipe qui fait le maximum de points du côté non-dominant gagne la première coupe.

L’équipe qui fait le maximum de points du côté dominant gagne une autre coupe

Ainsi, il peut y avoir 2 vainqueurs, ce qui augmente le caractère ludique et la motivation des joueurs.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 19:55

Avant de rentrer sur le court pour jouer les 2 parties, le joueur doit déclarer au jury sa main dominante (par exemple : je suis droitier).

 

La première partie se fera avec la main non-dominante.

La deuxième partie avec la main dominante.

 

Ainsi, on peut avoir un gagnant pour la première partie et un autre gagnant pour la seconde.

Il se peut également que la même personne remporte les 2 parties.

Dans les 2 cas de figure, on aura 2 « coupes » à donner !

 

Une partie = 5 jeux maximum avec point décisif à la fin de chaque jeu.

Il n’est donc pas besoin d’obtenir 2 points d’écart pour gagner un jeu.

 

Une partie est gagnée lorsqu'un joueur atteint 3 jeux.

De ce fait, dès qu’un joueur gagne 3 jeux, la partie est interrompue car il est déclaré vainqueur.

En cas d'égalité à 2 jeux partout, les joueurs se départagent également avec un « jeu décisif ».

 

Les pratiquant ont le droit de tenir leur raquette à deux mains, mais  :

- Lors du jeu avec la main non-dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

 

- Inversement, lors du jeu avec la main dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

 

 

 

 

Règle du jeu provisoire d’une partie de tennis bilatéralisé « gagnant-gagnant » (version 22/07/13)

 

On réalise des séries de jeux en essayant de faire le plus grand nombre d’échanges possible à chaque jeu : il faut donc composer avec les points forts et les points faibles de son coéquipier.

 

Avantage : le jeu est plus facile et plus attrayant pour les débutants car les 2 partenaires collaborent au lieu de s’opposer. Ils doivent vaincre ensemble leurs propres difficultés de coordination et de collaboration.

Il s’agit d’un jeu participatif dont le but est de favoriser la collaboration et l’esprit d’équipe.

Les progrès sont faciles à quantifier, et la Connaissance des Résultats (CR) est un facteur de motivation des débutants.

Exemple : en arrivant sur le court, ils peuvent se dire « la dernière fois nous avions réussi à atteindre 50 échanges avec la main non-dominante. Aujourd’hui, nous allons essayer de battre ce record !

Il y a donc des progrès quantifiables à chaque séance, et même parfois à chaque jeu en début de progression.

Dans toutes les disciplines sportives, il y a un maximum d’abandon dans le premier mois de pratique essentiellement par découragement.

C’est particulièrement vrai dans les sports d’opposition (« agôn » dans la classification de Roger Caillois), car le débutant est toujours battu par le pratiquant avancé. Il n’a aucune chance de gagner.

Il est donc important pour la motivation de prouver dès les premières séances que la progression est réelle et importante.

 

 

Les pratiquants ont le droit de tenir leur raquette à deux mains, mais  :

- Lors du jeu avec la main non-dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

- Inversement, lors du jeu avec la main dominante, cette main doit se trouver proche de l’extrémité du manche et donc plus loin du cordage que l’autre main.

 

 

- Premier niveau : faire le plus grand nombre d’échanges possible.

Dans ce but, on compte le nombre d’échanges à haute voix, comme dans le Frescobol (raquettes de plage).

 

Et on alterne : un échange avec la main non-dominante et un échange avec la main dominante.

 

 

Pour faciliter le jeu des débutants, on autorise 2 rebonds comme dans la pratique handisport

 

 

- Deuxième niveau plus « formel » pour des joueurs plus expérimentés :

Ils disposent de 15 minutes du côté non-dominant, puis de 15 minutes du côté dominant pour faire le maximum d’échanges sans interruption.

 

 

- Troisième niveau, pour les amateurs de compétitions. Il s’agit d’affrontements entre plusieurs équipes :

 

Avant de rentrer sur le court pour jouer les 2 parties, chaque joueur doit déclarer au jury sa main dominante (par exemple : je suis droitier).

 

Chaque équipe dispose de 15 minutes du côté non-dominant puis de 15 minutes du côté dominant pour faire le maximum d’échanges sans interruption.

 

L’équipe qui fait le maximum de points du côté non-dominant gagne la première coupe.

L’équipe qui fait le maximum de points du côté dominant gagne une autre coupe

Ainsi, il peut y avoir 2 vainqueurs, ce qui augmente le caractère ludique et la motivation des joueurs.

 

http://rehabilitation7.over-blog.com/article-regle-du-jeu-provisoire-d-une-partie-de-tennis-bilateralise-gagnant-gagnant-version-17-07-13-119109823.html

 

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 23:22

Traduction du résumé d’un article important sur la « tandem-therapy ».

RIDGEL, A.L., VITEK, J.L., ALBERTS, J.L. : Forced, Not Voluntary, Exercise Improves Motor Function in Parkinson's Disease Patients. Neurorehabilitation and Neural Repair 2009; 23(6): 600-608

http://nnr.sagepub.com/content/23/6/600.abstract

disponible gratuitement sur Internet :

 

Contexte :

Les études animales montrent que l'exercice forcé (FE) améliore la fonction motrice globale chez les rongeurs parkinsoniens.

 

Il n’y a aucune étude sur l’amélioration globale de la fonction motrice après un exercice volontaire (VE) dans la maladie de Parkinson (MP) humaine.

 

Objectif :

Le but de cette étude était de comparer les effets de l’exercice volontaire (VE) et de l’exercice forcé (FE) sur les symptômes des patients atteints de la maladie de Parkinson (fonction motrice et dextérité bimanuelle).

 

Méthodes :

Dix patients ayant une atteinte légère à modérée ont été répartis au hasard pour effectuer pendant 8 semaines :

- soit un exercice forcé (FE)

- soit un exercice volontaire (VE).

 

 Avec l'aide d'un formateur,

- les patients du groupe FE ont pédalé à une vitesse 30% supérieure à leur vitesse confortable,

- alors que les patients du groupe VE ont pédalé à leur vitesse confortable et préférée.

 

L’intensité du travail aérobie était identique pour les deux groupes : 60% à 80% de leur fréquence cardiaque maximale personnalisée.

 

 Résultats :

La capacité aérobie s’est améliorée pour les deux groupes.

 

Les patients du groupe « exercice forcé » (FE), ont amélioré leurs performances de 35% lors du test de motricité « Unified Parkinson's Disease Rating Scale (UPDRS) ».

Quant aux patients du groupe « exercice volontaire » (VE), ils ne présentaient aucune amélioration pour ce test.

 

Le contrôle et la coordination des forces de préhension lors de l'exécution d'une tâche fonctionnelle de dextérité bimanuelle s’est améliorée de manière significative pour les patients dans le groupe FE, alors qu'aucun changement dans les performances motrices n’a été observé pour le groupe VE.

 

De plus pour le groupe FE, les améliorations dans les mesures cliniques de la rigidité et la bradykinésie et les mesures biomécaniques de dextérité bimanuelle ont été maintenues 4 semaines après l'arrêt de l’entrainement.

 

Conclusions :

La capacité aérobie peut être améliorée chez les patients parkinsoniens suivant les deux interventions VE et FE.

 

Toutefois, seuls les patients du groupe « entrainement forcé » (FE) ont obtenu des améliorations significatives de la fonction motrice et de la dextérité bi-manuelle.

 

Les données biomécaniques indiquent que seul l’entrainement forcé (FE) provoque un changement de stratégie de la commande motrice.

La commande motrice se faisait au départ en utilisant la rétroaction (feedback).

Après l’entrainement, on observe une plus grande utilisation des processus d’anticipation (feedforward).

On peut donc en conclure que « l’entrainement forcé » (FE) peut modifier le processus de contrôle de la commande motrice.

 

 

ci-dessous le lien vers le texte intégral de cet article

RIDGEL, A.L., VITEK, J.L., ALBERTS, J.L. : Forced, Not Voluntary, Exercise Improves Motor Function in Parkinson's Disease Patients. Neurorehabilitation and Neural Repair 2009; 23(6): 600-608

http://bikelayne.com/media/uploads/plugins/research/Alberts_Forced-exercise_NNP_2009.pdf

 

AUTRES Vidéos :

Maladie de Parkinson : un témoignage sur les effets du pédalage à grande vitesse
http://youtu.be/c25s2MCcZJ0
  
 Maladie de Parkinson : rééducation et pédalage à 90 tours / minute
 http://www.youtube.com/watch?v=wRnKhe_zt5A
 

 

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 22:29

A link between these two events seems to me probable.

Indeed, despite the trajectories that are perpendicular, it seems possible that the two events may be interdependent.

Such temporal coincidence is probably not the result of chance.

 

explanations:

The Russian's fireball was probably a small satellite of the asteroid 2012 DA 14 (it is not uncommon that an asteroid has a satellite).

the asteroid IDA has a small satellite called Dactyl who was discovered in August 1993 by the Galileo probe.

 

If the orbit of the satellite lies in a plane perpendicular to the trajectory of the asteroid 2012 DA 14, then the entry into the atmosphere of this satellite will not have the same orientation as direct percussion by asteroid 2012 DA 14.

 

In addition, if the plane of the orbit of the satellite is oblique to the trajectory of the asteroid (not strictly perpendicular) then the entering in the Earth's atmosphere can be made according to any angle.

 

The characteristics of the orbit of the satellite are not known with precision.

They depend on several interacting factors: the major axis of the orbit, its inclination relative to the trajectory of the asteroid 2012 DA 14, the shape of its orbit more or less elliptical orbit and disturbances due to proximity the earth and the moon.

 

However, with a good calculation software, it is certain that an astronomer can calculate at least one orbit that corresponds to reentry into the Earth's atmosphere according to the angle and position observed in Russia.

 

As for me, I just make a diagram explaining the film this event.

It seems to me important to consider this hypothesis, because if it were true, it would encourage researchers to examine the vicinity of near-Earth asteroids with more attention and devote more resources to the search for satellites, although tiny but potentially dangerous to the earth.

 

orbite-de-2012-DA-14-et-de-son-satellite-copie-1.jpg

 

Author: Roland SULTANA

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 21:30

Un lien entre ces deux évènements me parait probable.

En effet, malgré les trajectoires perpendiculaires, il me semble possible que les 2 évènements puissent être interdépendants.

Une telle coïncidence temporelle n’est surement pas le fait du hasard.

 

 Explications :

Le bolide de Russie était probablement un petit satellite qui orbitait autour de l'astéroïde 2012 DA 14 (il n’est pas rare qu’un astéroïde possède un satellite).

Ainsi l’astéroïde IDA possède un petit satellite appelé Dactyl découvert en aout 1993 lors de son survol par la sonde Galiléo.

 

Si l’orbite du satellite se situe dans un plan perpendiculaire à la trajectoire de l'astéroïde 2012 DA 14, alors la rentrée dans l’atmosphère de ce satellite n’aura pas la même orientation que la percussion directe par l'astéroïde 2012 DA 14.

 

De plus, si le plan de l’orbite du satellite est oblique par rapport à la trajectoire (et non pas strictement perpendiculaire) alors la rentrée dans l’atmosphère terrestre peut se faire selon n’importe quel angle.

 

Les caractéristiques de l’orbite du satellite ne sont pas connues avec précision.

Elles dépendent de plusieurs facteurs qui interagissent : le grand axe de l’orbite, son inclinaison par rapport à la trajectoire de l'astéroïde 2012 DA 14, la forme de son orbite plus ou moins elliptique et les perturbations de cet orbite liées à la proximité de la terre et de la lune.

Cependant, avec un bon logiciel de calcul, il est certain qu’un astronome puisse calculer au moins une orbite qui corresponde à la rentrée dans l’atmosphère terrestre selon l’angle et la position observée en Russie.

Quant à moi, je me contenterai de faire un schéma expliquant le film de cet évènement.

Il me parait important d’envisager cette hypothèse, car si elle s’avérait exacte, elle inciterait les chercheurs à examiner le voisinage des astéroïdes géocroiseurs avec plus d’attention et à consacrer plus de moyens à la recherche de satellites, certes minuscules mais potentiellement dangereux pour la terre.

 

orbite-de-2012-DA-14-et-de-son-satellite.jpg

 

 

 

Bibliographie

Astronomie : éclipse sur la planète Mars

http://www.youtube.com/watch?v=0a9tRU44R6I

 

Astronomie : Noël sur GANYMEDE (transit de Io devant Jupiter)

http://www.youtube.com/watch?v=76qA95QY16Q

 

  Auteur de cet article

Roland SULTANA

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 19:28

Qu’est-ce que le SHIATSU

  Auteur Roland SULTANA numerisation0001-shiatsu-article.jpg

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 11:58

 

Fight against exclusion by bilateralization of asymmetrical sports

 
Every year athletes motivated and well trained must renounce practicing their favorite sport because of its asymmetric nature.

Pain appear and are strengthened over years of practice up prohibit this activity.

The doctor diagnosed tendonitis or other degenerative rheumatic problems or fatigue fracture...

 

 

Examples of asymmetric activities:

- Racquet sports (tennis, table tennis, squash ...)

- Target sports (shooting, billiards, bowling ...)

- Activities on stadium (cycling and running), etc ...

 

Other people have a cons-indication to asymmetric activities. This is particularly the case for children with scoliosis and scoliotic attitude. They are therefore excluded all their life from this activity.

 

These athletes are not disabled persons, they lead a normal life in terms of their activities of daily living, their school  work or their professional activities, and they practice other symmetrical sports without pain.

 

This is not the federation of disabled sports to "recover" these sports activities arranged for disabled people, but the federations of their favorite sport to offer them a new sport similar and symmetrical.


The idea would be to create within each federation, new symmetrical disciplines in complement to asymmetrical activities who already exist.


Most federations are multidisciplinary. The "new symmetrical disciplines" can be easily integrated into these organizations effective and well-established.

Examples:
- The French Athletics Federation (FFA) manages many disciplines grouped into: running, jumping, throwing and walking...

 

- The French Cycling Federation (FFC) includes: road cycling, mountain biking, track cycling, cyclo-cross, BMX, indoor cycling, cycling for people with disabilities and bike polo.

 

- The French Tennis Federation (FFT) has already standing tennis and wheelchair tennis ...

 

The case of a teenager who was part of a team track cycling (in a cycling stadium) was the trigger of my action of bilateralization of physical activities and sports.

Indeed, the regulation requires to turn always in the same direction in the stadium.

Which causes asymmetric constraints on the joints, tendons and muscles.

This resulted for this young sportsman, tenacious tendonitis of knee, persisting hydarthrosis, which ended his favorite physical activity.

 

If the young athlete was able to recover normal function of the knee after many therapy sessions; frustration resulting from the forced abandonment of sport has persisted longer.


Unfortunately, in many disciplines,
most athletes who begin are not immune to the problems associated with the asymmetry of their favorite sport.
This is a general problem for many physical activities or sports asymmetrical.

 

 Currently there is no alternative. if they are affected by a pathology related to the asymmetry, they become excluded from the sport.

 

Faced with these problems unacceptable, I'm sure the federations concerned will react and fight these exclusions intolerable.

This is why I am very optimistic.

 

 Asymmetric sports will emerge and grow significantly and universal for the benefit of participants and federations.
With the support of the media, their popularity will grow.

They will diffuse their physical merits:

- Symmetrical development of the body of the sportsmen,,

- Less pain and rheumatological disorders

- Absence of underdevelopment on one side of the body,

- Bilateral coordination.

Their psychological benefits are recognized, in particular the opportunity to win two times instead of one makes the symmetrical game more attractive and playful.

The federations will accommodate a growing number of participants and their brand will be strengthened.


The new rules of symmetric game remain to improve and validate by each federation.

  In fact, the principle is relatively simple.

 

Example rule for the symmetric racket sports:

Each game consists of two separate parts:

- The first part is played with the non-dominant hand (usually the left hand, but not always, because there are many left-handed who must declare it before the competition).

- The second part is played with the dominant hand.

This increases the motivation of participants and playfulness of this sport since there are two opportunities to win: one for the part made with the non-dominant hand and one for the part performed with the dominant hand.

 

Participants will want to win both games.

There is good ideas that never materialize.

It will not be the case in the bilateralization process of physical activity and sports

The opportunity to start a symmetrical competition has already been given me in the family and it was during the summer of 2012 I organized the first competition of "ping-pong symmetrical."

 

The first game was played with the dominant hand, the second with the other hand.

http://youtu.be/9whKS01dH6Y


It is a real advantage to have several opportunities to win.

So, my granddaughter who had lost a game with the right hand, had the joy of winning with the left side.

 
Initially, as with all new activities, there is a moment of reluctance:

"Yes it is, but not for me because I can not do anything with your left hand!"

But by insisting a little, we soon realize that there are untapped opportunities of   bilateral transfer.

 

 

Bilateral transfer is the possibility for the non-dominant side to benefit of previous experience on the other side in order to learn faster.

 

The best example of bilateral transfer was given by Karoly Takacs.

This pistol champion before the war lost his right hand as a result of the explosion of a grenade.

(loss of dominant hand with which he shot).

After the war, it has managed to become Olympic champion pistol with his left hand.

http://www.bbc.co.uk/blogs/olympics/2008/07/olympic_countdown_38.html

 

This example of bilateralization is a model for all those who have at heart to join in this action of progress.

 

It is likely that a new generation of players bilateral will be a nursery of champions through the action of the bilateral transfer.

 

It is my experience over many years with kobudo in particular practice nunchaku and bō (stick used in martial arts) which allowed me to understand while practicing; and assist the teacher in the initiation of many youth and adult novices to use both hands to perform a single coordinated action

Examples of strikes on targets (called "pao") or interception of fast moving objects with nunchaku or bō that must be performed with the right and left hand.

It is comparable actions to service of tennis or to receiving the ball in racket games.

In martial arts, you have to execute an attack or defense both right and left, and with speed and precision.

Of course, there is always one side that is more skilled than the other, but with a regular training, it is always possible to manage to make respectable performances on both sides.

What it is possible to Kobudo is also valid for all other physical activities or sports.


My approach is devoid of any mercantile motivation and no patent has been taken on these ideas.

But, being published in this article falls into the public domain.

 

Internet address of this article

http://rehabilitation7.over-blog.com/article-bilateralization-process-of-sports-and-physical-activities-109897118.html

 

 

Authors of this article:
Roland SULTANA
(physiotherapists in a rehabilitation center and teacher in physiotherapy)

Serge MEASURE (Doctor in Science and physiotherapist)
Gilbert Heurley
(physician specializing in physical medicine and rehabilitation)
Thierry RUBINO
(physician specializing in physical medicine and rehabilitation)
Sandie FRECHET (Physiotherapist)

 

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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 21:36

Nouvelle hypothèse concernant le craquement articulaire lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements.

 

Les hypothèses qui tentent d’expliquer les craquements articulaires lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements ne nous satisfont pas (cavitation, bulle d’air qui claque, remise en place d’un élément déplacé, etc…). Toutes ces hypothèses n’expliquent pas la totalité des phénomènes constatés et nous paraissent peu vraisemblables.

 

Nous avons donc formulé une autre hypothèse qui permet d’expliquer l’ensemble des modifications positives ou négatives qui accompagnent ces craquements : gain de mobilité, diminution (ou plus rarement augmentation de la douleur ressentie par le patient, etc…

Il s’agirait de liaisons physicochimiques faibles entre les éléments concernés par le mouvement : synoviales, surfaces cartilagineuses, capsules, ligaments, fascia, muscles, etc...

Ces liaisons deviennent de plus en plus fortes et étendues avec le temps.

Elles limitent les mouvements de ce fait certaines amplitudes articulaires ne sont plus utilisées.

Le cartilage qui est nourri par imbibition de la synoviale, est alors mal irrigué dans les zones qui ne sont plus utilisées pour le mouvement. Le liquide synovial ne peut circuler dans les zones où se développent les liaisons chimiques faibles qui emprisonnent de petites quantités de liquide synovial qui ne se renouvelle pas.

Les ligaments et les fascias s’adaptent aux nouvelles amplitudes et se rétractent progressivement. Cette rétraction est également due à des liaisons électrochimiques qui sont initialement faibles et qui avec le temps se renforcent.

Les nerfs et les vaisseaux sanguins eux-mêmes ne sont pas fixes mais glissent et bougent par rapport à leur environnement. Toute diminution chronique des amplitudes de leurs mouvements entraine une fibrose et une rétraction de ces tissus nobles. Cette diminution de ces mouvements commence dans sa phase initiale par un renforcement progressif des ponts électrochimiques entre ces éléments (ou leur gaine protectrice) et leur environnement.

Cette pathologie de l’immobilisme qui touche le cartilage et des éléments périarticulaire (ligaments, tendons, muscles, nerfs…) s’étend peu à peu, se renforce et finit par entrainer une gène ou une douleur.

 

Les craquements lors des mouvements extrêmes correspondent à une rupture totale ou partielle de ces liaisons électrochimiques permettant d’augmenter les amplitudes articulaires et donc d’améliorer la nutrition du cartilage ou/et de retrouver les glissements entre les fascias, les ligaments, etc…

Le patient se sent alors libéré comme si on avait remis en place quelque chose de déplacé.

 

La rapidité avec laquelle se reconstituent les liaisons électrochimiques est multifactorielle.

Elle est variable d’un individu à l’autre.

Cette hypothèse pourrait expliquer les observations millénaires des anciens médecins chinois qui pensaient que les douleurs et pathologies articulaires étaient en relation avec de nombreux facteurs intrinsèques et extrinsèques : la digestion, l’obésité, l’activité spontanée du sujet,  ses habitudes d’intempérance, le manque de repos, le moral, l’âge, l’environnement dans lequel il évolue, etc...

 

Attention danger !

Au-delàs de la mobilisation et de la manipulation physiologique des craquements pathologiques peuvent se faire entendre. Ils concernent la rupture de ligaments et d’autres structures anatomiques. Ce sont en fait des lésions (entorses, arrachement osseux, etc…) liées à un manque de mesure et de contrôle de la manipulation ou de l’assouplissement intempestif.

 

Conclusion

Pour vérifier l’hypothèse des liaisons physicochimiques, des recherches sont nécessaires.

La rééducation, comme toutes les disciplines (l’astronomie par exemple) ne progresse pas seulement par des études, des observations et des validations par « l’evidence based practice » de techniques de rééducation. Elle a également besoin de nouvelles hypothèses et de recherche multidisciplinaire pour pouvoir progresser.

 

La théorie des ponts physicochimiques développée dans cet article aura des applications importantes dans la prise en charge des patients et dans les pratiques physiques et sportives.

Elle permet de mieux comprendre et donc de mieux pratiquer les assouplissements, mobilisations, manipulations et techniques utilisant les mouvements de grande amplitude.

 

Bibliographie

Le craquement articulaire   http://www.osteopathie-france.net/essai/articles-sites/crac/1079-craquement

 

Volk E. Prise de conscience par le mouvement. Méthode Feldenkrais. Encycl Méd Chir (Editions Scientifique et médicales Elsevier SAS, Paris, tous droits réservés) Kinésithérapie-Médecine physique-Réadaptation, 26-061-8-10, 2000, 10p

 

Nouvelle hypothèse concernant le craquement articulaire lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements.

 

 

Les hypothèses qui tentent d’expliquer les craquements articulaires lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements ne nous satisfont pas (cavitation, bulle d’air qui claque, remise en place d’un élément déplacé, etc…). Toutes ces hypothèses n’expliquent pas la totalité des phénomènes constatés et nous paraissent peu vraisemblables.

 

Nous avons donc formulé une autre hypothèse qui permet d’expliquer l’ensemble des modifications positives ou négatives qui accompagnent ces craquements : gain de mobilité, diminution (ou plus rarement augmentation de la douleur ressentie par le patient, etc…

Il s’agirait de liaisons physicochimiques faibles entre les éléments concernés par le mouvement : synoviales, surfaces cartilagineuses, capsules, ligaments, fascia, muscles, etc...

Ces liaisons deviennent de plus en plus fortes et étendues avec le temps.

Elles limitent les mouvements de ce fait certaines amplitudes articulaires ne sont plus utilisées.

Le cartilage qui est nourri par imbibition de la synoviale, est alors mal irrigué dans les zones qui ne sont plus utilisées pour le mouvement. Le liquide synovial ne peut circuler dans les zones où se développent les liaisons chimiques faibles qui emprisonnent de petites quantités de liquide synovial qui ne se renouvelle pas.

Les ligaments et les fascias s’adaptent aux nouvelles amplitudes et se rétractent progressivement. Cette rétraction est également due à des liaisons électrochimiques qui sont initialement faibles et qui avec le temps se renforcent.

Les nerfs et les vaisseaux sanguins eux-mêmes ne sont pas fixes mais glissent et bougent par rapport à leur environnement. Toute diminution chronique des amplitudes de leurs mouvements entraine une fibrose et une rétraction de ces tissus nobles. Cette diminution de ces mouvements commence dans sa phase initiale par un renforcement progressif des ponts électrochimiques entre ces éléments (ou leur gaine protectrice) et leur environnement.

Cette pathologie de l’immobilisme qui touche le cartilage et des éléments périarticulaire (ligaments, tendons, muscles, nerfs…) s’étend peu à peu, se renforce et finit par entrainer une gène ou une douleur.

 

Les craquements lors des mouvements extrêmes correspondent à une rupture totale ou partielle de ces liaisons électrochimiques permettant d’augmenter les amplitudes articulaires et donc d’améliorer la nutrition du cartilage ou/et de retrouver les glissements entre les fascias, les ligaments, etc…

Le patient se sent alors libéré comme si on avait remis en place quelque chose de déplacé.

 

La rapidité avec laquelle se reconstituent les liaisons électrochimiques est multifactorielle.

Elle est variable d’un individu à l’autre.

Cette hypothèse pourrait expliquer les observations millénaires des anciens médecins chinois qui pensaient que les douleurs et pathologies articulaires étaient en relation avec de nombreux facteurs intrinsèques et extrinsèques : la digestion, l’obésité, l’activité spontanée du sujet,  ses habitudes d’intempérance, le manque de repos, le moral, l’âge, l’environnement dans lequel il évolue, etc...

 

Attention danger !

Au-delàs de la mobilisation et de la manipulation physiologique des craquements pathologiques peuvent se faire entendre. Ils concernent la rupture de ligaments et d’autres structures anatomiques. Ce sont en fait des lésions (entorses, arrachement osseux, etc…) liées à un manque de mesure et de contrôle de la manipulation ou de l’assouplissement intempestif.

 

Conclusion

Pour vérifier l’hypothèse des liaisons physicochimiques, des recherches sont nécessaires.

La rééducation, comme toutes les disciplines (l’astronomie par exemple) ne progresse pas seulement par des études, des observations et des validations par « l’evidence based practice » de techniques de rééducation. Elle a également besoin de nouvelles hypothèses et de recherche multidisciplinaire pour pouvoir progresser.

 

La théorie des ponts physicochimiques développée dans cet article aura des applications importantes dans la prise en charge des patients et dans les pratiques physiques et sportives.

Elle permet de mieux comprendre et donc de mieux pratiquer les assouplissements, mobilisations, manipulations et techniques utilisant les mouvements de grande amplitude.

 

Bibliographie

Le craquement articulaire   http://www.osteopathie-france.net/essai/articles-sites/crac/1079-craquement

 

Volk E. Prise de conscience par le mouvement. Méthode Feldenkrais. Encycl Méd Chir (Editions Scientifique et médicales Elsevier SAS, Paris, tous droits réservés) Kinésithérapie-Médecine physique-Réadaptation, 26-061-8-10, 2000, 10p

 

Nouvelle hypothèse concernant le craquement articulaire lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements.

 

 

Les hypothèses qui tentent d’expliquer les craquements articulaires lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements ne nous satisfont pas (cavitation, bulle d’air qui claque, remise en place d’un élément déplacé, etc…). Toutes ces hypothèses n’expliquent pas la totalité des phénomènes constatés et nous paraissent peu vraisemblables.

 

Nous avons donc formulé une autre hypothèse qui permet d’expliquer l’ensemble des modifications positives ou négatives qui accompagnent ces craquements : gain de mobilité, diminution (ou plus rarement augmentation de la douleur ressentie par le patient, etc…

Il s’agirait de liaisons physicochimiques faibles entre les éléments concernés par le mouvement : synoviales, surfaces cartilagineuses, capsules, ligaments, fascia, muscles, etc...

Ces liaisons deviennent de plus en plus fortes et étendues avec le temps.

Elles limitent les mouvements de ce fait certaines amplitudes articulaires ne sont plus utilisées.

Le cartilage qui est nourri par imbibition de la synoviale, est alors mal irrigué dans les zones qui ne sont plus utilisées pour le mouvement. Le liquide synovial ne peut circuler dans les zones où se développent les liaisons chimiques faibles qui emprisonnent de petites quantités de liquide synovial qui ne se renouvelle pas.

Les ligaments et les fascias s’adaptent aux nouvelles amplitudes et se rétractent progressivement. Cette rétraction est également due à des liaisons électrochimiques qui sont initialement faibles et qui avec le temps se renforcent.

Les nerfs et les vaisseaux sanguins eux-mêmes ne sont pas fixes mais glissent et bougent par rapport à leur environnement. Toute diminution chronique des amplitudes de leurs mouvements entraine une fibrose et une rétraction de ces tissus nobles. Cette diminution de ces mouvements commence dans sa phase initiale par un renforcement progressif des ponts électrochimiques entre ces éléments (ou leur gaine protectrice) et leur environnement.

Cette pathologie de l’immobilisme qui touche le cartilage et des éléments périarticulaire (ligaments, tendons, muscles, nerfs…) s’étend peu à peu, se renforce et finit par entrainer une gène ou une douleur.

 

Les craquements lors des mouvements extrêmes correspondent à une rupture totale ou partielle de ces liaisons électrochimiques permettant d’augmenter les amplitudes articulaires et donc d’améliorer la nutrition du cartilage ou/et de retrouver les glissements entre les fascias, les ligaments, etc…

Le patient se sent alors libéré comme si on avait remis en place quelque chose de déplacé.

 

La rapidité avec laquelle se reconstituent les liaisons électrochimiques est multifactorielle.

Elle est variable d’un individu à l’autre.

Cette hypothèse pourrait expliquer les observations millénaires des anciens médecins chinois qui pensaient que les douleurs et pathologies articulaires étaient en relation avec de nombreux facteurs intrinsèques et extrinsèques : la digestion, l’obésité, l’activité spontanée du sujet,  ses habitudes d’intempérance, le manque de repos, le moral, l’âge, l’environnement dans lequel il évolue, etc...

 

Attention danger !

Au-delàs de la mobilisation et de la manipulation physiologique des craquements pathologiques peuvent se faire entendre. Ils concernent la rupture de ligaments et d’autres structures anatomiques. Ce sont en fait des lésions (entorses, arrachement osseux, etc…) liées à un manque de mesure et de contrôle de la manipulation ou de l’assouplissement intempestif.

 

Conclusion

Pour vérifier l’hypothèse des liaisons physicochimiques, des recherches sont nécessaires.

La rééducation, comme toutes les disciplines (l’astronomie par exemple) ne progresse pas seulement par des études, des observations et des validations par « l’evidence based practice » de techniques de rééducation. Elle a également besoin de nouvelles hypothèses et de recherche multidisciplinaire pour pouvoir progresser.

 

La théorie des ponts physicochimiques développée dans cet article aura des applications importantes dans la prise en charge des patients et dans les pratiques physiques et sportives.

Elle permet de mieux comprendre et donc de mieux pratiquer les assouplissements, mobilisations, manipulations et techniques utilisant les mouvements de grande amplitude.

 

Bibliographie

Le craquement articulaire   http://www.osteopathie-france.net/essai/articles-sites/crac/1079-craquement

 

Volk E. Prise de conscience par le mouvement. Méthode Feldenkrais. Encycl Méd Chir (Editions Scientifique et médicales Elsevier SAS, Paris, tous droits réservés) Kinésithérapie-Médecine physique-Réadaptation, 26-061-8-10, 2000, 10p

 

 

 

Physio-pathologie et histoire naturelle des ponts physicochimiques articulaires et périarticulaires

 

La constitution de ponts physicochimiques faibles qui bloquent une partie de l’amplitude articulaire ou diminue légèrement l’extensibilité de muscles mono-articulaires ou poly-articulaires est le plus souvent lente et progressive.

 

Cependant la constitution de ces liaisons peut prendre un aspect plus rapide à la suite d’une microlésion traumatique, ou au cours d’une action dépassant la résistance des tissus du sujet

Cette microlésion articulaire ou péri-articulaire peut s’accompagner d’un micro-hématome, ou/et d’un petit œdème, ou/et d’une légère hydarthrose.

Il existe un seuil au-delàs duquel la douleur, les courbatures et l’impression de blocage s’exacerbent, deviennent conscients et plus ou moins gênants. On est à la phase aigüe de ce processus.

 

La diminution des mouvements de l’articulation s’accompagne d’une souffrance tissulaire liée à :

- un début de dégénérescence cartilagineuse en rapport avec une diminution de la nutrition par imbibition de certaines zones du cartilage articulaire

- ou/et de la diminution de la vascularisation de certains éléments péri-articulaires (certaines zones de la synoviale, de la capsule, ou d’autres éléments périarticulaires) qui sont richement innervés.

A partir d’un certain seuil, les réflexes nociceptif se mettent en action.

Dans un deuxième temps, ces phénomènes sont exacerbés par des influx psychologiques (anxiété, agacement…).

Ce stade est appelé « phase yang » dans la médecine traditionnelle chinoise.

 

Si les ponts électrochimiques sont rompus peu de temps après cette phase aigue :

- à la suite de mouvements spontanés du sujet plus ou moins facilité par les médicaments (antalgiques, décontracturants musculaires, anti-inflammatoires…)

- ou grâce à l’intervention d’un thérapeute,

l’articulation peut retourner à son état antérieur et la pathologie devenir un lointain souvenir.

Il est donc préférable d’entretenir l’amplitude des articulations, par exemple en pratiquant régulièrement des assouplissements et des mouvements de grande amplitude ainsi qu’une activité musculaire permettant de protéger les articulations.

 

Si par contre les liaisons physicochimiques ne sont jamais rompues, l’articulation continue à fonctionner avec une amplitude légèrement restreinte, les tissus en souffrance finissent par s’adapter aux nouvelles amplitudes. On arrive à la phase chronique de cette légère diminution d’amplitude (phase de rétractions froides).

A ce stade (appelés « phase yin » dans la médecine traditionnelle chinoise) les douleurs sont souvent absentes, l’organisme a rétabli un nouvel équilibre permettant de faire fonctionner plus ou moins bien l’articulation dans une amplitude restreinte.

Finalement, l’articulation s’enraidit et il devient alors impossible ou très difficile de revenir à l’état initial.

 

 

 

Exemples d’activités physiques ou rééducatives permettant « briser » les ponts physicochimiques entre les éléments anatomiques et donc d’éviter le passage à la chronicité :

 

1. Activités ludiques, physiques ou sportives

- assouplissements, étirements,  stretching…

- gymnastiques (artistique, rythmique, acrobatique, aérobic, sur trampoline, tumbling...)

- yoga (hatha yoga)

- tai chi chuan, gymnastique médicale chinoise (chi-kong, Qi-Gong)

- arts martiaux (karaté, judo, kobudo, aïkido…)

- danses (classique, moderne, hip hop…)

- natation, nage dissociée, aquagym…

- toutes les activités physiques et sportives associées à des assouplissements systématiques ; c’est systématique lorsqu’elles sont pratiquées sérieusement (jeux de ballon, …)

 

2. Techniques de rééducation, réadaptation, thérapie physique

- mobilisations passives, auto-passives, active-aidée, mobilisations actives de grande amplitude, contracté-relâcher...

- manipulation, ostéopathie, thérapie manuelle, fascia-thérapie…

- tractions, self-tractions, auto-élongations, pompages alternatifs, postures de dégagement…

- méthodes de rééducation où l’assouplissement joue un grand rôle : méthodes Feldenkrais, Kabat, Bobath, Mézières-Souchard, nages de salons…

 

 

 

 

Adresse de l'article  "Nouvelle hypothèse concernant le craquement articulaire lors des manipulations, auto-manipulations et assouplissements"   :

http://rehabilitation7.over-blog.com/article-nouvelle-hypothese-concernant-le-craquement-articulaire-lors-des-manipulations-auto-manipulations-e-109546894.html

 

 

Auteurs de cet article :  

Roland SULTANA (Kinésithérapeute Cadre de Santé D.E.);    

et Gilbert HEURLEY (Médecin MPR)

 

___________________________________________________________________ 

FIGURE 1 :

  1-Position-neutre.jpg

 

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FIGURE 2 

 2-mouvement-actif-et-manipulations.jpg

 

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FIGURE 3

3-DANGER-amplitude-traumatisante.jpg 

 

 

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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 21:31

Lutte contre l’exclusion par la bilatéralisation des activités physiques ou sportives asymétriques

 

Chaque année des sportifs motivés et bien entrainés doivent renoncer à la pratique de leur sport favori à cause de son caractère asymétrique.

Des douleurs apparaissent et se renforcent au cours des années de pratique au point de finir par contre-indiquer l’activité. Le médecin diagnostique des tendinites, des TMS (troubles tendino-musculaires) ou d’autres problèmes rhumatologiques dégénératifs et même parfois des fractures de fatigues asymétriques.

Exemples d’activités asymétriques :

- sports de raquette (tennis, tennis de table, squash…),

- sports de cible (tir, billard, pétanque…),

- activités sur piste circulaire ou sur stade (cyclisme et course à pied sur piste fermée), etc…

 

D’autres sportifs présentent d’emblée une contre-indication aux activités asymétriques. C’est en particulier le cas des enfants présentant une scoliose ou attitude scoliotique. Ils sont donc exclus à vie de ces activités.

 

Ces sportifs ne sont pas des handicapés ; ils mènent une vie normale sur le plan de leurs activités de la vie quotidienne, de leur scolarité ou de leur cursus professionnel, et pratiquent parfois d’autres activités sportives symétriques qui n’entrainent aucune douleur. Ce n’est donc pas à la fédération handisport de « récupérer » ces sportifs pour une activité aménagée, mais bien aux fédérations de leur sport préféré de leur proposer une nouvelle pratique sportive similaire et symétrique.

 

L’idée serait donc de créer au sein de chaque fédération de nouvelles disciplines symétriques en complément des activités asymétriques qui existent déjà.

La plupart des fédérations étant multidisciplinaires, les « nouvelles disciplines symétriques » pourront s’intégrer facilement dans ces organisations efficaces et bien rodées.

Exemples :

 

- La Fédération française d’athlétisme (FFA) gère de nombreuses disciplines regroupées en : courses, sauts, lancers, épreuves combinées et marche.

 

- La Fédération française de cyclisme (FFC) comporte : le cyclisme sur route, le vélo tout terrain, le cyclisme sur piste, le cyclo-cross, le BMX, le cyclisme en salle, le paracyclisme et le polo-vélo.

 

- La Fédération française de tennis (FFT) comprend déjà le tennis debout et le tennis en fauteuil roulant…

 

Le cas d’un adolescent qui faisait partie d’une équipe de cyclisme sur piste (dans un stade vélodrome) a été l’élément déclenchant de mon action de bilatéralisation des activités physiques et sportives.

En effet, le règlement impose de tourner toujours dans le même sens dans le stade. Ce qui entraine des contraintes asymétriques sur les articulations, les tendons et les muscles.

Il en résulta chez ce jeune sportif, des tendinites tenaces d’un genou avec hydarthrose persistante, qui mirent fin à son activité physique préférée.

Si le jeune sportif a pu retrouver une fonction normale de son genou après de nombreuses séances de rééducation, la frustration résultant de l’abandon forcé du sport a persisté plus longtemps.

 

Malheureusement, dans de nombreuses disciplines, les débutants ne sont pas à l’abri des problèmes liés à l’asymétrie de leur sport préféré ; ils sont simplement en sursis.

Il s’agit d’un problème général concernant de nombreuses activités physiques ou sportives asymétriques. Actuellement il n’y a pas d’alternative. Si une pathologie liée à l’asymétrie les frappe de manière durable, ils deviennent des exclus de ce sport.

 

Face à ces problèmes humains inacceptables, je suis certain que les fédérations concernées auront à cœur de réagir et de combattre ces exclusions intolérables. C’est la raison pour laquelle je suis très optimiste.

Les sports asymétriques verront le jour et se développeront de manière importante et universelle pour le plus grand bénéfice des participants et des fédérations.

Avec le soutien des médias, leur popularité ira en grandissant.

 

On ventera leurs mérites physiques :

- développement symétrique du corps du pratiquant assidu,

- moins de douleurs, de TMS (troubles tendino-musculaires) et rhumatologiques,

- absence de sous-développement d’un côté du corps,

- coordination bilatérale.

 

Leurs avantages psychologiques seront reconnus ; en particulier la possibilité de gagner 2 fois au lieu d’une, rend le jeu symétrique plus attrayant et plus ludique.

 

Les fédérations pourront accueillir un nombre croissant de participants et leur image de marque sera renforcée.

 

Les nouvelles règles du jeu symétrique restent à améliorer et valider par chaque fédération. En fait, le principe est relativement simple.

Exemple de règle du jeu symétrique pour les sports de raquette :

Chaque partie comprend 2 manches distinctes :

- la première manche se joue avec la main non-dominante du joueur (en général la main gauche, mais pas toujours, car il y a de nombreux gauchers qui se déclareront et se feront enregistrer avant la compétition).

- la deuxième manche se joue avec la main dominante.

Cela augmente la motivation des participants et le caractère ludique de l’activité puisqu’il y a deux gagnants, un pour la manche réalisée avec la main non-dominante et un autre pour la partie réalisée avec la main dominante.

Les participants convaincus auront à cœur de remporter les deux manches.

 

Il est de bonnes idées qui ne se concrétisent jamais. Ce ne sera pas le cas du processus de symétrisation des activités physiques et sportives.

L’occasion de démarrer une compétition symétrique m’a déjà été donnée dans le cadre familial et c’est au cours de l’été 2012 que j’ai organisé les premières compétitions de « ping-pong symétrique ».

 La première manche était jouée avec la main dominante, la deuxième manche avec l’autre main.

http://youtu.be/9whKS01dH6Y

 

Avoir plusieurs occasions de gagner est réel un avantage.

Ainsi, ma petite fille qui avait perdu une partie avec la main droite, a eu la joie de gagner avec la gauche.

 

Au départ, comme pour toutes les activités nouvelles, il y a un instant de réticence :

« Oui c’est bien, mais pas pour moi car je ne sais rien faire de la main gauche » !

Mais en insistant un peu, on s’aperçoit très vite que l’on a des possibilités inexploitées et que le transfert bilatéral existe.

 

Le transfert bilatéral est la possibilité pour le côté non dominant de bénéficier de l’expérience antérieure de l’autre côté pour apprendre plus vite.

Le plus bel exemple de transfert bilatéral a été donné par Karoly TAKACS. Ce champion de tir au pistolet avant la guerre a perdu sa main droite à la suite de l’explosion d’une grenade (perte du côté dominant avec lequel il tirait).

Après la guerre, à force d’entrainement, il a réussi à devenir champion olympique de tir au pistolet avec sa main gauche.

http://www.bbc.co.uk/blogs/olympics/2008/07/olympic_countdown_38.html

 

Cet exemple de bilatéralisation forcée constitue un modèle à suivre pour tous ceux qui auraient à cœur de s’inscrire dans cette action de progrès.

 

Il est probable qu’une nouvelle génération de joueurs bilatéraux soit une pépinière de champions grâce à l’action du transfert bilatéral.

 

C’est mon expérience en kobudō sur plusieurs années avec la pratique du nunchaku et du bō (bâton servant dans les arts martiaux) qui m’a permis de comprendre en pratiquant et d’assister le professeur lors de l’initiation de nombreux novices jeunes et adultes à l’utilisation des deux mains pour effectuer une même action coordonnée. 

Exemple : frappes sur cibles (pao de frappe) ou interception d’objets rapides avec le nunchaku ou le bō qui doivent être effectuées à droite comme à gauche. Il s’agit d’actions comparables au service de tennis ou à la réception de balles dans les jeux de raquette.

Dans les arts martiaux, il faut savoir exécuter une attaque ou une défense aussi bien à droite qu’à gauche, et ce avec vitesse et précision.

Bien sûr, il y a toujours un côté qui est plus habile que l’autre, mais à force d’entrainement, on arrive toujours à effectuer des performances honorables des deux côtés.

Ce qui est possible pour le kobudō, est également valable pour toutes les autres activités physiques ou sportives.

 

L’enjeu de santé publique, d’équité, de lutte contre l’exclusion et la discrimination est tel, qu’il est de la plus haute importance que chaque personne concernée (sportif ou responsable) s’implique à son niveau dans le processus de réflexion et de mise en pratique de ces actions.

 

Ma démarche est dépourvue de toute motivation mercantile et aucun brevet n’a été pris sur ces idées. En étant publié, cet article tombe dans le domaine public.

 

  

Les étapes de la bilatéralisation des activités sportives :

 

1.  Phase d’émergence des concepts, d’essais internes et de publications préliminaires.

Il s’agit de définir l’intérêt et la nécessité de la bilatéralisation des activités sportives. Cette action nécessite la participation de spécialistes des sciences et techniques des activités physiques et sportives, de la médecine physique et de la médecine du sport.

 

2.  Réalisation de matchs et de compétitions bilatérales dans toutes les disciplines qui seront filmées. Ces vidéos publiées sur Internet serviront d’exemple et prouveront la faisabilité de ce concept. Cette action nécessite la participation active de sportifs confirmés et d’amateurs.

 

Les 2 premières étapes constituent un préalable indispensable à la réalisation de la suite du projet.

 

3.  Participation des médias officiels (radio, télévision, presse) pour « couvrir » de nouveaux matchs et des compétitions bilatérales dans toutes les disciplines. Il s’agit à ce stade de diffuser l’intérêt des idées bilatéralistes et faire vraiment démarrer ce projet.

 

4.  Action des fédérations pour la création officielle des nouvelles disciplines bilatérales avec rédaction d’un règlement officiel, diffusion nationale et internationale.

 

 

 Auteurs de cet article : 

Roland SULTANA (Kinésithérapeute Cadre de Santé D.E.)

Serge MESURE (Docteur Es Science et kinésithérapeute)

Gilbert HEURLEY (Médecin MPR)

Thierry RUBINO (Médecin MPR)

Sandie FRECHET (Masseur-Kinésithérapeute D.E.)

 

 

Adresse de l'article http://0z.fr/FpDle

 

Lien vers cet article en anglais : http://0z.fr/zpYyb

 

 

 

 

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 16:39

L’ataxie de Friedreich est un des rares cas ou l’on peut voir :

- des mouvements syncinétiques de triple flexion et de triple extension

- associés à des Réflexes Ostéo-Tendineux (ROT) abolis et donc sans spasticité au sens strict qui se définit comme une exagération des réflexes d’étirement encore appelée « hyperactivité gamma ou hypertonie gamma ».

- Cependant, rien n’empêche une « hyperactivité alpha » (encore appelé hypertonie alpha), c'est-à-dire des contractures en triple flexion ou en triple extension qui sont liées à une hyperactivité des motoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière. Cette hypertonie est parfois appelée « spasticité au sens large ».

L’hyperactivité alpha n’est pas dépendante d’un arc réflexe ; elle provient de l’état pathologique du système nerveux central.

Le cas d’un patient illustre bien l’hypertonie alpha, ce n’était pas un Friedreich, il présentait une tétraplégie avec une hypertonie des membres inférieurs très gênante pour le positionnement et les soins de nursing. Ce patient a subi une radicotomie totale censée inhiber cette « spasticité ». Or, dès le lendemain de l’intervention, les contractures des membres inférieures étaient toujours aussi fortes. Il s’agit donc dans ce cas d’une hypertonie alpha qui n’est pas influencée par la suppression des racines postérieures.

 

Les protestations de TARDIEU (1) contre le terme de « spasticité » qu’il trouvait trop vague et donc inapproprié n’ont servi à rien. Ce terme est hélas toujours utilisé (de plus en plus, sous l’influence des auteurs anglo-saxons) pour désigner des états pathologiques très différents. Il en résulte une grande confusion dans la terminologie et dans les traitements.

 

Dans l’Ataxie de Friedreich, l’absence de ROT et de « spasticité au sens strict » s’explique par les lésions neurologiques de ces patients (figure 1).

En effet, ils présentent une atrophie sévère des racines postérieures de la moelle épinière.

De ce fait, l’arc réflexe est coupé à ce niveau et il y a donc abolition des réflexes ostéo tendineux.

On peut comparer ce mécanisme à l’intervention neuro-chirurgicale appelée « radicotomie postérieure sélective » qui a pour but de rompre la bouche réflexe au niveau des racines médullaires sensitives (postérieures) ce qui a pour effet d’inhiber la spasticité.

Dans l’ataxie de Friedreich, on observe une sorte de « radicotomie postérieure sélective » naturelle.

 

3b-lesions-medullaires-dans-l-Ataxie-de-Friedreich.jpg

 

En résumé, les réflexes ostéo-tendineux sont abolis en raison de l’interruption de l’arc réflexe dans sa portion afférente consécutive à l’atrophie des racines postérieures (sensitives) de la moelle épinière.

 

L’atrophie des cordons postérieurs de la moelle épinière (encore appelés faisceaux de GOLL et BURDACH) joue également un rôle dans la perte des réflexes et l’inhibition de la spasticité.

En effet, ces cordons véhiculent la sensibilité profonde et ont un rôle dans la diffusion des réflexes vers d’autres étages médullaires.

Chez les patients présentant une spasticité au sens strict, les réflexes d’étirement deviennent ainsi polycinétiques (c'est-à-dire qu’il y a diffusion des mouvements réflexes à d’autres articulations). Cette diffusion est impossible dans l’ataxie de Friedreich à cause de l’atrophie des cordons postérieurs.

 

On parle « d’atrophie radiculocordonale postérieure » pour désigner l’atrophie des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle épinière (figure 1).

 

De ce fait, le syndrome pyramidal que présentent ces patients est modifié par l’atrophie des racines postérieures de la moelle épinière :

- Les syncinésies (parfois appelés mouvements spastiques) se manifestent selon un des 7 stades décrits par BRUNNSTROM.

Voir l’article expliquant  ces 7 stades.

http://reeducationreadaptation.hautetfort.com/archive/2011/09/01/bilan-moteur-pour-comprendre-l-influence-des-syncinesies.html

ou

http://cmapspublic3.ihmc.us/rid=1HZQJFJVX-21TFYCR-MQ5/BRUNNSTROM%20-%207%20stades%20-%20Evolution%20naturelle%20de%20la%20spasticit%C3%A9.cmap

 

- Persistance étonnante du réflexe cutané plantaire chez les patients présentant une Ataxie de Friedreich. La persistance de ce réflexe cutané prouve que les racines postérieures atrophiées ne sont pas totalement coupées car les influx sensitifs cutanés passent. Il s’agit donc une fois de plus d’une sorte de radicotomie postérieure sélective. Les influx afférents proprioceptifs sont supprimés (ce sont eux qui participent aux ROT), mais les influx afférents cutanés peuvent encore passer.

 

- Comme la spasticité au sens strict et donc les réflexes ostéo-tendineux ne sont pas présents, on parle de « syndrome pyramidal décapité » ou de « syndrome pyramidal amputé ».

 

 

Bibliographie

1. TARDIEU G, Le dossier clinique de l'IMC. 3ème édition refondu, CDI éditions, Paris 1984.

 

C. Lamy et De Recondo J. - Dégénérescence cérébelleuse et spinocérébelleuses - Editions Techniques – Encyl. Méd. Chir. (Paris-France), Neurologie, 17-00666-a-10, 1992, 16 p

 

Goizet C, Ballan G et Tison F. Atrophie (dégénérescence) cérébelleuses tardives. Encyl Méd Chir (Editions scientifiques et médicales Elsevier SAS, Paris tous droits réservés), Neurologie, 17-063-D-10, 2002, 18 p.

 

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